 | PRESENTATIONL’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture FAO est une organisation spécialisée du système des Nations unies, créée en 1945 à Québec, regroupant regroupe 191 membres. Son siège est à Rome depuis 1951. La FAO a pour mission de fournir une assistance technique aux pays en développement dans les domaines de la nutrition, l’agriculture, les forêts et la pêche en vue de lutter contre la faim |
PARTENARIAT
En date du 27 septembre 2007, SYNERGIES AFRICAINES et le Fonds des Nations Unies pour l’Agriculture (FAO) décident de mettre en commun leurs efforts pour lutter contre le VIH/SIDA à travers la promotion de la sécurité alimentaire. Ce partenariat fait suite au plaidoyer des Premières Dames de SYNERGIES AFRICAINES, lors de la Conférence internationale conjointement organisée par SYNERGIES AFRICAINES le 29 mai 2007 à Rome, sur le thème de la «Gouvernance de la Santé en Afrique : Nouvelles Formes de partenariat ».
REALISATIONS
Le Projet des Ecoles Pratiques d’Agriculture et de Vie pour les Jeunes, a été expérimenté dans cinq localités semi rurales au Cameroun. De janvier à juillet 2008, 150 filles et garçons vulnérables, âgés de 12 à 18 ans, encadrés par une vingtaine de facilitateurs formés par le projet, et par des volontaires communautaires, ont reçu des enseignements pratiques sur les techniques agricoles modernes et les compétences de vie en général.
Le Projet des Ecoles Pratiques d’Agriculture et de Vie pour les Jeunes est une nouvelle stratégie qui met en scène la FAO, les gouvernements, la société civile, et les communautés, pour intensifier la lutte contre le VIH, le SIDA, les autres maladies endémiques, la pauvreté et la malnutrition, qui sévissent en Afrique.
SYNERGIES AFRICAINES a impulsé, mobilisé, facilité et coordonné la mise en place des partenariats, et la mise en œuvre des activités de ce projet.
Le passage à l’échelle de ce projet, et son extension dans d’autres pays de SYNERGIES AFRICAINES, sont souhaitables, tant le projet démontre sa pertinence face à la flambée des prix des biens de première nécessité qui accentue l’insécurité alimentaire des populations déshéritées, et la propagation du VIH/SIDA.